mardi 7 septembre 2010

A corps perdu pour un accord perdu.

Se rappeler, soudainement, les derniers mois de douleurs : le corps agité de soubresauts, au bord de rendre l'âme, la gorge serrée, vouloir vomir et vomir encore pour que tout s'arrête, mais la bouche ne lâche que des sanglots et les larmes coulent tout autant à l'intérieur qu'à l'extérieur. Les derniers moments de vie d'un coeur moribond duquel on a extirpé l'amour qui fut son souffle vital pendant quatre années ; il essaye d'écraser l'espoir qui pointe en lui, ce nouvel amour impossible qui se fait sa place, et ce double arrachement le laissa pour mort, pour vide.


Tout est terminé.
Tout recommence. 

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