
Les Valseuses, de Laurent Korcia.
S'arracher la peau, se griffer jusque dans les os, à quoi bon ? La vraie vie n'est pas toujours, ne peut pas être toujours la littérature. Alors prenons-la telle qu'elle est, hideuse et bassement matérielle comme pétillante et joyeuse. Prenons-la à bras le corps, ne nous laissons pas abattre par elle, parce que dans l'état actuel où nous sommes, toi, moi, nous, jeunesse de France et d'Europe, nous avons le pouvoir de décider ce que sera notre vie, nous avons le pouvoir de dire "Je me bats pour moi-même" et nous aurions le pouvoir, si nous le désirions, si nous le voulions au plus profond de nos coeurs tremblants et vastes, même mettre Paris en bouteille.
La vraie vie, c'est la nôtre.
Quelle qu'elle soit.
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