vendredi 16 mars 2012

Les mots de Carnero tourbillonnent dans ma tête

Je me permets de faire les conclusions qui correspondent à mes ressentis. Ce n'était pas hâtif : j'ai eu toutes les vacances d'été pour y réfléchir, et puis jusqu'au mois de novembre, avant que je coupe les ponts. Alors non, ce n'étaient pas des conclusions hâtives. 

Je ne suis pas fâchée, je suis triste. Je me sens vide. Voir tes mots, après si longtemps, ça m'est obscur, ça me fait du mal, parce que j'essaye de penser à autre chose. Je ne sais pas ce que tu en espères, ou même ce que tu n'en espères pas. La métaphore du couteau est très juste, pour le coup.

Vous me manquez. Et si je n'ai rien compris, alors jette moi la première pierre.

PS : Avant de t'enflammer, je t'ai écrit un mail. J'aimerais mieux que lorsque tu veux me dire quelque chose tu le fasses par cette voie.

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